Le vent ici rend fou
Et la folie douce
Crache parfois une flamme.
Il y a ici
Plus d'arbres que d'air
Plus de peine que de cris.
Les oiseaux ne dorment plus
Sous le jour qui nous pèse,
Vous cédez une jambe à la mer.
Je ne vous aime plus
Comme un vieux jour d'automne
À paris.
Qui sommes nous désormais
Dans la forêt muette ?
Deux étranger qui font leurs bagages.
Adieu,
Le vent ici rend fou
Et la folie naissante
Cache parfois une femme.
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